V 16/02 Rennes CPB 2 - OCC3

Victoire 9-5

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Aujourd’hui, une fois n’est pas coutume, je commence par la faim …

Plusieurs choses me réjouissaient à l’idée de jouer au CPB de Rennes, parmi lesquelles le court trajet et le casse-croûte de fin de match que je classe parmi les meilleurs du championnat de Bretagne messieurs par équipes. Que personne ne se vexe, j’ai bien dit « parmi » ce qui signifie que d’autres clubs se défendent bien sur ce terrain (cf dernier CR).

J’en profite pour faire une petite parenthèse culinaire puisque dans son compte-rendu, la Nationale 3, belle équipe de gourmands elle aussi, nous suggère de chercher sur google les photos du Misao qu’ils ont dégusté avant leur rencontre. Je ne sais pas vous mais moi pour « Misao » j’ai trouvé ça et je commence à douter qu’ils se contentent d’innocents paris sportifs ou tests du code de la route pour se mettre en condition avant les matchs ???!!!

Misao Horror Game :

(Mine Sao donne des résultats plus appétissants).

Mais revenons au CPB, chaque joueur confectionne une quiche, un gâteau, une salade grand format, même si quelques supporters s’invitent à la fête, ça fait quand même ½ plat par personne. Pour une collation de fin d’après-midi, disons-le, c’est copieux. Cela n’effraie pas Martin, toujours le premier devant son assiette la fourchette à la main, qui se donne du mal pour remplir le short de son papa. Sylvain, n’est pas le dernier non plus et le remplit déjà bien. Je m’explique. Ce week-end, les shorts ont été notre tracasserie numéro 1. Martin est donc à l’aise dans son short, de mon côté je crains déjà depuis plusieurs rencontres de retrouver le mien sur mes chevilles depuis que l’élastique s’est subitement détendu. J’ai pensé à en prendre un nouveau de la même taille, mais l’élastique neuf est finalement trop serré. Quant à savoir si je dois prêter mon short relâché à Sylvain, qui remplace Corentin au pied levé, pour enfiler celui de Martin qui est en fait à son père, et donner à Martin le neuf plus resserré, c’est un débat. Finalement, Sylvain essaie le short de Martin et pour ceux qui ne connaissent ni Martin ni Sylvain, je schématise leurs morphotypes respectifs :

 

Finalement, les jambes passent mais il est illusoire d’imaginer ne serait-ce qu’une position d’attente...  Donc  Sylvain, trouvera dans le short de Pol (celui de nos adversaires qui a fait la quiche) le sésame manquant pour débuter la rencontre avec la R1. Car j’ai oublié de le dire, nous nous déplaçons au CBP à deux équipes, R3 (Vincent, Gweltatz, Martin et moi) et R1 (Roch, Christian, Fred et Sylvain), autre avantage réjouissant de ce déplacement. De là à penser que je vais rédiger le compte rendu de la R1, qu’on attend depuis 3 journées, il ne faut pas exagérer…

Et puis si, c’est rapide : 13/1 pour le CPB, Christian vient de comprendre qu’en fait c’est celui qui marque un point qui paye un coup et pas l’inverse. Eh hop ! Ils partent prendre leur douche (moment précis de la compétition à propos duquel  j’aurai la décence de taire les détails qui m’arrivent parfois aux oreilles au détour des conversations et dont je suis témoin malgré moi) et hop ils sont attablés.

Pourquoi je tarde tellement à rentrer dans le vif du sujet ? Parce que certains lendemains de match sont plus difficiles que d’autres, et qu’on n’est pas pressé de refaire le match. Mais allons-y pour le décompte, victoire d’équipe 9 à 5 qui nous place premier ex-aequo avec Fougères dans la poule !!! Sourire

  • Vincent, quand il mange léger, gagne ses 3 matchs et le double avec Gweltaz. Il était plutôt en confiance et avançait bien dans la balle. Ça paye !
  • Gweltaz qui n’a oublié ni son short ni ses baskets ajoute 2 points au compteur, et défend bien sa chance contre Pol. Il est un peu fébrile sur les fins de sets mais la confiance commence à venir.
  • Martin joue bien et n’est pas récompensé avec une seule victoire. Il est bien lancé dans son championnat.
  • Je reste dans mon short mais je suis un peu à côté de mes baskets et je m’en sors bien avec une victoire. Martin et moi semblons enfin bien ensemble dans notre double, si bien, que je lui marche sur les pieds à deux reprises.

Merci à tous ceux qui sont venus nous supporter (au sens propre comme au figuré) et à Dimitri qui a poussé le soutien jusqu’à nous seconder à l’arbitrage, au coach/joueur Sylvain qui a eu la gentillesse de tenter un coaching délicat après ses matchs sans trouver une oreille attentive.

Promis, la prochaine fois, on fait une photo d’équipe.