V 14/03 OCC7 - Langon 1

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Victoire 9-5

 

Opération «Barbelé»

Le retour du Cap’tain.

Après une rapide revue d’effectif et avoir épluché les rapports d’opérations des premières journées de la seconde phase. Cap’tain Bastos s’est vu convoqué par haut commandement, afin de justifier ses piètres résultats. Et le moins qu’on puisse dire c’est que ce ne fut pas facile de justifier ce désordre ou plutôt ce  « merdier ». J’ai eu droit comme on dit à un sévère remontage de bretelles en bonne et due forme. Ce qui a occasionné des nuits blanches, des migraines, des nervousses brékdones comme on dit de nos jours.  Mais y connaissent  pas le Cap’tain Bastos ces mecs ? Y va y avoir un réveil pénible, j'ai voulu être diplomate, éviter que le sang coule, mais maintenant c'est fini, j'vais travailler en férocité, les faire marcher à coup de lattes, à ma pogne ! Et vous verrez qu'ils demanderont  pardon et au garde à vous ...

 Ce qui à eu comme effet de distribuer une série de « bourres pifs » essaimer des thermos soufflantes (Pratique thérapeutique consistant à donner de bonnes engueulades).  Sa suffit !! Il faut arrêter d’enfiler des perles et envoyer du lourd pour la fin de la phase, avec comme seul objectif d’obtenir des résultats. Après un sérieux recadrage une nouvelle Opération est mise sur pied.

L’Opération «Barbelé»

Elle a pour but de ne plus reculer face aux assauts ennemis, qui depuis un certain temps sappent le moral du team seven. L’opération est menée par Papy Boyington, Fire Dog, Moussaillon, et Cap’tain Bastos. Après un boot camp de derrière les fagots destiné  à remonter le moral du commando et un discours bref et sans équivoque du type « va falloir arrêter de coincer la bulle » ou encore « se sortir les doigt du c-l », c’est avec une soif de victoire et l’envie de battre nos adversaires du soir, que nous nous présentons face à une équipe de Langon apparemment à notre portée sur le papier du moins (7,6,6,5). C’était sans compter sur un jeune premier de 62 ans prénommé Paul armée une fois encore d’un calibre pas orthodoxe, « du picot long » qui nous a causé bien des misères. 

Moussaillon lance le match de la meilleure des façons puisque sans coup fait rire il extermine son premier adversaire en trois sets secs, la sulfateuse est en route. Puis il continue sur le même rythme avec ses deux autres adversaires. Bilan pour ce « faiseur de veuve» 3 victoires, manque que le double,  dommage matelot tu manques la def’ nat’ (médaille de la défense nationale) pour pas grand-chose.

Fire dog quand à lui commence par pétarder son premier adversaire en 3 sets puis passe entre les mains d’un spécialiste, un expert en démolition, un tonton flingueur  armé d’un picot long et malheureusement il s’incline en trois sets. Puis comme Moussaillon perd le double avant de se ressaisir et marquer son deuxième point de sa soirée face à Alexis.

Papy Boyington est solidaire du fiston et nous propose une prestation similaire avec les mêmes difficultés face à Paul notre bête noire de la soirée lors de son premier match, « injouable » c’est son impression au sortir du match. Malgré un début difficile le moral n’est pas atteint et enregistre par la suite 2 victoires durant les autres simples. Lors du double et après avoir pris le premier set l’équipe fini par rendre les armes.   Bilan donc 2 points, l’essentiel est assuré.

Cap’tain Bastos quand à lui se devait de montrer l’exemple et était condamné à performer. La tache devait se révéler ardue, puisqu’ avec ses 525 points, il faisait figure de petit poucet de cette soirée.   C’est avec le couteau entre les dents qu’ le pitaine engage le premier match et ne laisse qu’un point à son adversaire lors du 1er set du premier match pour finir par une première victoire en 4 sets. Le deuxième match fut plus serré et les deux protagonistes se rendaient coup pour coup dans un match serré dont l’issue fût réglée au 5ème set par une victoire Cessonnaise. Pour son dernier simple, il affrontait le mouton noir de l’équipe adverse, le terroriste du picot long  hélas il n’y a pas eu de miracle et une défaite en trois sets se profilait.  La perte du double avec Papy Boyington ne portait pas préjudice pour le Match  sachant que les simples gagnés auparavant nous assuraient la victoire finale.

La soirée se fini par une victoire 9 à 5

Messieurs, l’essentiel est acquît. Une victoire non pas sans bavures mais une victoire quand même. Sans oublier nos trois devises " La bravoure procède du sang", "le courage vient de la pensée", "le seul jour facile était hier". Il ne faut rien lâcher.

Pour  fêter cela et finir la soirée dans la bonne humeur,  j’ai invité nos sympathiques adversaires et le team seven à déguster quelques plateaux de petits fours sucrés apporté par mes soins.

A suivre …

Cap’  tain Bastos.